Les acheteurs se tournent de manière générale sur Internet pour préparer leur achat, quel qu’il soit, même si ce dernier n’est pas réalisé en ligne. Surtout si ce dernier représente un investissement conséquent comme un logement. Ainsi, 90% des recherches de logements commencent en ligne ! Ils iront même sur Internet avant même de prendre le premier contact. Quoi qu’il arrive, vous devez être présent là où votre futur client effectuera ses premières recherches et attirer son attention. La vidéo devient alors un incontournable dans votre stratégie marketing.
La vidéo pour attirer l’attention et engager
D’ici 2020, la part de la vidéo dans le trafic global Internet représentera 82%. En d’autres termes : soit vous utilisez la vidéo, soit vous deviendrez invisible. Par ailleurs, 78% des marques devraient utiliser la VR d’ici 2020 : plus d’excuses pour ne pas l’utiliser dès maintenant dans vos communications. D’autant plus que le format en question génère un maximum d’engagement de la part des internautes : 80% des utilisateurs se souviennent de la vidéo.
La vidéo, Graal du marketing immobilier? Sans doute. Évidemment, sur votre site Internet et dans votre bureau de vente en complément des flyers et des 4×3. Mais demain?
Comme Facebook vient marcher sur les plate-bandes des sites d’annonces classiques, et que 55% des internautes regardent des vidéos quotidiennement, il est essentiel de se positionner sur ce format et de s’y adapter. L’affichage urbain s’y met aussi avec des écrans en gare déjà bien implantés, mais aussi des futurs mobiliers connectés, testés par JCDecaux, qui offrent de nouveaux points de contacts.
La video pour s’adapter aux nouveaux usages
La clé est bel et bien là. Maintenant que vous avez un matériel vidéo et 3D à votre disposition le champs des possibles est (presque) infini. Tour d’horizon des bonnes pratiques actuelles et futures :
- Créer du contenu avant tout pensé pour le mobile, comme 50% des contenus vidéos online sont regardés depuis un smartphone. Par exemple, proposer un format vertical, qui se substitue progressivement au format horizontal.
- S’adapter aux plateformes sociales (YouTube, Facebook, Snapchat). Par exemple, uploader directement vos videos sur les plateformes offre une meilleure expérience utilisateur. Elles sont conçues aujourd’hui pour mesurer l’ensemble des retombées et des interactions.
- Raccourcir la vidéo, quitte à en publier plusieurs chapitres. Une vidéo de 15 secondes est partagée 37% plus souvent qu’une vidéo de 30 secondes ou d’une minute et 30% des internautes arrêtent de regarder une vidéo au bout de 30 secondes.
- Intégrer des sous-titres et mots clés, comme les nouveaux médias l’ont bien compris (Brut, Slate, 20 minutes ou encore BuzzFeed) et se sont ainsi adaptés au visionnage de vidéo sans son.
- Proposer un live vidéo, tous les réseaux s’y sont essayés (Periscope, YouTube, Facebook ou encore SnapChat) et les internautes en redemandent : les utilisateurs Facebook passent 3x plus de temps à regarder une vidéo en live.
- Le vidéo 360°, pour une expérience toujours plus poussée. Facebook permet à 1,5 milliards d’utilisateurs d’accéder à ce format sans équipement particulier.
- L’affichage urbain offrira des solutions pour une créativité sans limite. Il est déjà très commun de croiser des affichages vidéos dans les gares, mais il sera possible d’aller plus loin dans la connectivité et la personnalisation.
- Le placement de produits dans des environnements en réalité virtuelle a été mis au point par une startup. Les marques pourront afficher leur produit en 3D et les consommateurs accéder à plus de détails.